L’étudiante iranienne arrêtée samedi à Téhéran après s’être dévêtue en public a été « transférée dans un centre de soins spécialisés », a annoncé, mercredi 6 novembre, l’ambassade iranienne à Paris dans un communiqué. Les autorités prétextent qu’elle souffrirait « d’une fragilité psychologique ». Une allégation catégoriquement réfutée par des sources connaissant la trentenaire.