Après une large victoire aux Législatives : Robert Bourgi conseille à Ousmane Sonko, de rester à la Primature
« On dit maintenant qu'il doit aller à l'Assemblée nationale. Si la question m'était posée par le Premier ministre, je lui dirais de rester à la tête du gouvernement et de nommer quelqu'un d'autre à l'Assemblée », a soutenu Robert Bourgi au cours de l'émission « Grand Jury » de la RFM, dont il était l'invité, le dimanche 24 novembre. Selon l'avocat Franco-libanais de 79 ans, né à Dakar, « le travail effectif, c'est à la tête du Gouvernement en liaison permanente avec le président de la République ».
Commentant le triomphe du parti au pouvoir lors des Législatives anticipées du 17 novembre dernier, Robert Bourgi a parlé d'un « tsunami qui n'a fait que confirmer la victoire de Diomaye Faye » à l'élection présidentielle de mars dernier. « Aujourd'hui, dans l'espace politique sénégalais, il n'y a que Pastef. Il n'y a que Sonko. Il n'y a que le président et tous les alliés de Pastef. Les autres sont portés disparus », a-t-il déclaré.
Robert Bourgi est formel. Pastef continuera encore de s'imposer dans l'espace politique, dans les prochaines années. « Dans les cinq ou dix ans à venir, je vois difficilement le Pastef perdre de sa force ou son influence (dans le pays) ,pour la bonne et unique raison que les gens de l'ancien régime se feront de plus en plus âgés. La jeunesse qui compose 65% minimum de la population sénégalaise, va se renforcer. Dans cinq ans, les jeunes qui ont aujourd'hui 12 ans, ils seront en âge de voter », s'est-il projeté.
Dans le même temps, l'avocat qui joue au Cassandre, prédit la disparition « complète » des radars de ceux qui gouvernaient avant Pastef : « Il faut être réaliste. Je ne vois pas Diomaye Faye, Ousmane Sonko, disparaître. Je les vois là pour un bon bout de temps ».
Commentant le triomphe du parti au pouvoir lors des Législatives anticipées du 17 novembre dernier, Robert Bourgi a parlé d'un « tsunami qui n'a fait que confirmer la victoire de Diomaye Faye » à l'élection présidentielle de mars dernier. « Aujourd'hui, dans l'espace politique sénégalais, il n'y a que Pastef. Il n'y a que Sonko. Il n'y a que le président et tous les alliés de Pastef. Les autres sont portés disparus », a-t-il déclaré.
Robert Bourgi est formel. Pastef continuera encore de s'imposer dans l'espace politique, dans les prochaines années. « Dans les cinq ou dix ans à venir, je vois difficilement le Pastef perdre de sa force ou son influence (dans le pays) ,pour la bonne et unique raison que les gens de l'ancien régime se feront de plus en plus âgés. La jeunesse qui compose 65% minimum de la population sénégalaise, va se renforcer. Dans cinq ans, les jeunes qui ont aujourd'hui 12 ans, ils seront en âge de voter », s'est-il projeté.
Dans le même temps, l'avocat qui joue au Cassandre, prédit la disparition « complète » des radars de ceux qui gouvernaient avant Pastef : « Il faut être réaliste. Je ne vois pas Diomaye Faye, Ousmane Sonko, disparaître. Je les vois là pour un bon bout de temps ».