Le jour où le cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah entrait en vigueur, le ministère des Affaires étrangères français publiait un communiqué faisant savoir que Paris n’appliquerait pas nécessairement le mandat d’arrêt de la CPI à l’encontre de Benyamin Nétanyahou. Ce serait faire preuve d’une naïveté confondante que d’y voir une simple coïncidence, observe ce journaliste israélien.
