De passage à Paris pour une rétrospective alors qu’elle vient de terminer son dernier long métrage, l’indispensable cinéaste argentine Lucrecia Martel évoque, dans un entretien à Mediapart, les luttes pour les terres dans les Andes, le phénomène Javier Milei et son envie d’un cinéma plus collectif face aux monstres qui rôdent.