La motion de destitution visant le président sud-coréen n’a pas pu être votée, samedi 7 décembre, la quasi-totalité des députés du parti au pouvoir ayant refusé de participer au scrutin. Malgré la pression de dizaines de milliers de manifestants, Yoon Suk Yeo sauve donc temporairement son poste, quatre jours après sa tentative ratée d’imposer la loi martiale.