Clarifications du porte-parole du gouvernement sur la controverse concernant une levée de fonds
Le Sénégal continue de bénéficier de la confiance des marchés financiers extérieurs. C’est ce qu’a souligné, dimanche, le porte-parole du gouvernement, Amadou Moustapha Ndieck Sarré, qui est également ministre de la Formation professionnelle et technique. Invité de l’émission "Opinion" sur Walf TV, il a apporté des précisions concernant la polémique autour d’une levée de fonds réalisée par le gouvernement en novembre dernier, rapporte "LeSolel-sn".
« Ce qui s’est passé le 29 novembre 2024, c’est que le gouvernement du Sénégal a renoncé à cet appel aux fonds, car le 15 novembre dernier, nous avons réussi à obtenir davantage de financements du marché financier que ce qui était nécessaire. Nous avions pour objectif de lever 25 milliards, mais au final, nous avons pu en obtenir 92 milliards FCfa. Les marchés financiers ont véritablement confiance en ce gouvernement. C’est pourquoi nous n’avons pas jugé nécessaire de poursuivre la procédure de levée de fonds du 29 novembre », a-t-il précisé.
Selon le porte-parole du gouvernement, cette réussite de levée de fonds le 15 novembre, combinée à la recherche de financements extérieurs, a permis à l’équipe gouvernementale de disposer d’une trésorerie « beaucoup plus améliorée ».
« C’est pourquoi nous n’avons pas jugé nécessaire de continuer avec l’autre procédure. Voilà ce qui s’est passé », a-t-il conclu.
« Ce qui s’est passé le 29 novembre 2024, c’est que le gouvernement du Sénégal a renoncé à cet appel aux fonds, car le 15 novembre dernier, nous avons réussi à obtenir davantage de financements du marché financier que ce qui était nécessaire. Nous avions pour objectif de lever 25 milliards, mais au final, nous avons pu en obtenir 92 milliards FCfa. Les marchés financiers ont véritablement confiance en ce gouvernement. C’est pourquoi nous n’avons pas jugé nécessaire de poursuivre la procédure de levée de fonds du 29 novembre », a-t-il précisé.
Selon le porte-parole du gouvernement, cette réussite de levée de fonds le 15 novembre, combinée à la recherche de financements extérieurs, a permis à l’équipe gouvernementale de disposer d’une trésorerie « beaucoup plus améliorée ».
« C’est pourquoi nous n’avons pas jugé nécessaire de continuer avec l’autre procédure. Voilà ce qui s’est passé », a-t-il conclu.