Pour réparer ces avaries, Guirec devra monter au mât, une intervention toujours risquée, mais encore plus dans de telles conditions. Pour envisager cette manœuvre en toute sécurité, il est impératif d’attendre une accalmie.Avec des vents toujours très forts, le skipper envisage de rejoindre un abri à proximité des îles Kerguelen, situées à 220 milles de sa position actuelle. Cet archipel isolé pourrait offrir des conditions plus favorables pour effectuer les réparations nécessaires et sécuriser son gréement.Source communiqué de presse