Une équipe internationale dirigée par des chercheurs de l'Institut Max-Planck d'Anthropologie Évolutive est parvenue à séquencer les plus anciens génomes d’Hommes modernes connus à ce jour. Leur travaux, qui constituent une véritable prouesse technologique, dévoilent de nouvelles et capitales informations sur le parcours des premiers humains modernes en Europe, tout juste sortis d'Afrique, et sur leurs interactions avec Néandertal.