Environ 100 000 personnes, selon les organisateurs, ont répondu à l'appel à manifester contre le projet de loi sur la sécurité. Le texte, jugé « fasciste » par ses détracteurs, vise à sanctionner pénalement des formes de contestation politique et sociale, comme le blocage d’une route en faisant barrage avec son corps. Mais il s’étend à d’autres domaines, comme l’interdiction de la vente de cartes sim aux migrants.