Poser la question de confiance en espérant la perdre. C’est l’exercice auquel va se livrer Olaf Scholz ce lundi 16 décembre. Le chancelier allemand dirige depuis début novembre un gouvernement minoritaire après que les libéraux ont quitté sa coalition. Un vote négatif aujourd’hui doit permettre une dissolution du Parlement et l’organisation d’élections anticipées prévues le 23 février.
