En Syrie, la déroute de l’armée racontée par ses soldats : « Refuser les ordres, c’était s’exposer à la peine de mort ou, pire, à être emprisonné à Saydnaya »
Les militaires du rang disent ne pas avoir été tenus informés par leurs officiers de l’avancée fulgurante des rebelles. Ils décrivent un système reposant sur des conscrits de force mal formés, qui ne tenait que grâce au soutien iranien et russe.