En pourcentage, le vin “no low” (sans ou avec peu d’alcool) se situe encore loin derrière les bières, les cocktails et autres spiritueux. Pourtant, ces dernières années, le constat est là : la demande est de plus en plus forte. Surtout chez les jeunes de la génération Z, ceux nés entre la fin des années 1990 et la fin des années 2000.