El Bouari et la FISA abordent les défis et stratégies du secteur avicole pour le mois de Ramadan 1446

div class=field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hiddendiv class=field-itemsdiv class=field-item even property=content:encodedp class=rtejustifyLe ministre de l’Agriculture, Ahmed El Bouari, a rencontré une délégation de la Fédération Interprofessionnelle du Secteur Avicole (FISA) pour discuter de l’approvisionnement du marché national en viandes de volailles et en œufs durant le mois de Ramadan 1446. L'objectif principal de ces entretiens était de garantir un approvisionnement stable pendant cette période clé./p
p class=rtejustifyLa FISA a assuré que les filières avicoles ont pris toutes les mesures nécessaires pour répondre à la demande accrue de ces produits durant Ramadan. Les importations de reproducteurs ont montré une nette augmentation par rapport à l'année précédente, avec une hausse de 14% des importations de reproducteurs de type chair, et une forte progression de 196% des importations de dindonneaux./p
p class=rtejustifyEn ce qui concerne la production locale, le cumul des mises en place des poussins de type chair a progressé de 5%, tandis que celui des dindonneaux a augmenté de 17%. Cependant, les mises en place des poulettes ont diminué de 12%, en raison de l'extension de la durée d’élevage des poules pondeuses./p
p class=rtejustifyLa production nationale des viandes de volailles a atteint 735.000 tonnes à fin octobre 2024, marquant une hausse de 6% par rapport à l’année précédente, tandis que la production des œufs de consommation a également augmenté de 4%, atteignant 5,5 milliards d'œufs./p
p class=rtejustifyLa FISA a précisé que la fixation des prix des produits avicoles est régulée par les mécanismes de l'offre et de la demande, mais que les intermédiaires restent un facteur important dans la hausse des prix. Pour résoudre ce problème, elle préconise de favoriser l'agrégation des filières et de développer des écosystèmes intégrés./p
p class=rtejustifyLe ministère de l’Agriculture a réaffirmé son soutien à tout investissement visant à renforcer la souveraineté alimentaire du pays, en particulier en encourageant la création d’élevages de grands parentaux pour réduire la dépendance aux importations./p
p class=rtejustifystrongemM.Ba./em/strong/p
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