La proclamation de la loi martiale par l’ex-président sud-coréen, en décembre, a entraîné une vaste mobilisation populaire qui a permis de sauvegarder la démocratie. Mais cet épisode révèle les errements d’un système social qui n’a pas su entendre la voix de tous, explique le sociologue Cho Hyung-keun.