Le 25 septembre 2020, après la republication des caricatures de Mahomet, un Pakistanais avait attaqué au couteau deux personnes devant les anciens locaux de l’hebdomadaire, ignorant que la rédaction avait déménagé. Un attentat qui n’était pas inspiré par un groupe djihadiste ou par une polémique, mais par le code pénal du Pakistan, où le blasphème est passible de la peine de mort.