Nicolas Sarkozy, trois de ses anciens ministres et neuf autres prévenus ont vu leur procès s’ouvrir ce lundi 6 janvier. L’ancien président a à nouveau démenti, via son avocat, les accusations de financement libyen de sa campagne de 2007. Absent à l’audience, l’intermédiaire Ziad Takieddine les a quant à lui réitérées depuis Beyrouth.