Depuis que le gouvernement de l’indépendantiste Louis Mapou, en place depuis trois ans, a été renversé en décembre dernier, les non-indépendantistes, majoritaires, n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur le nom d’un successeur ou d’une successeuse. Il faut impérativement réunir les votes de six des onze membres pour qu’une élection devienne effective.
