Aux Comores, la clôture de la campagne pour les élections législatives est prévue pour ce vendredi. Si une partie de l'opposition a choisi de boycotter le scrutin, estimant que les conditions pour des élections libres et transparentes ne sont pas réunies, d'autres opposants ont décidé de prendre part à la course électorale. Un choix assumé, que défendent deux anciens députés.