Quatorze ans pile après la chute de Ben Ali le 14 janvier 2011, dont le renversement marqua le début du soulèvement qui embrasa alors le monde arabe, la Tunisie est à nouveau aux mains d’un régime autoritaire. Mais le vent de la révolution n’a pas fini de souffler, estime le politologue Hamza Meddeb.