Au lendemain d’une réunion électrique, la direction d’Arkema ayant été exfiltrée, l’intersyndicale a décidé de poursuivre la grève contre le projet de suppression de 154 emplois sur le site de Jarrie. Pendant que soixante-dix salariés s’échauffent pour la manifestation au siège parisien, les élus « harcèlent » le Premier ministre.