La première rencontre, le 28 janvier à Damas, d’une délégation russe avec les nouvelles autorités du pays n’aura pas été de très bon augure. À sa demande de maintenir ses deux bases stratégiques sur le littoral syrien, la Russie a quasiment reçu une fin de non-recevoir. Le nouveau pouvoir syrien aurait exigé, en contrepartie, l’extradition de Bachar El-Assad et le versement d’“indemnités”.