Depuis plusieurs années, les Brésiliens délaissent le “jogo do bicho”, une loterie clandestine ancrée dans la culture populaire, au profit des jeux d’argent en ligne, constate “The New York Times”. Un quart de la population mise sur ces applications qui brassent 23 milliards de dollars par an et alimentent, en sous-main, des réseaux mafieux.