À Port-au-Prince, les habitants de certains quartiers continuent de fuir face à la violence des gangs armés, qui continuent à tuer et à imposer leur loi sous les yeux des autorités. Mardi 25 février, ils ont obligé ceux des quartiers de Delmas 30 et ses environs à abandonner leurs maisons. Entre-temps dans la commune de Tabarre, selon des témoignages, un nouveau massacre a été orchestré par la coalition VIV Ansanm, causant de nombreuses victimes.