Ces centres, situés à la frontière avec la Thaïlande, sont devenus de plus en plus nombreux depuis la pandémie de Covid-19 et le début de la guerre civile en Birmanie. Les personnes employées de force sont principalement chinoises et originaires d’Asie du Sud-Est. De nombreux travailleurs disent avoir été attirés ou trompés par des promesses d'emplois bien rémunérés avant d'être capturés, leur passeport leur ayant été confisqué.