C’est l’histoire d’un aveu. Un aveu longtemps différé, et pour cause : celle qui le fait dans un livre brûlant autant que douloureux, intitulé « In violentia veritas », n’est autre que la fille de l’assassin. Mais une fille aimante. Plus que ça. Une fille qui idolâtre son père, lequel fut également son meilleur ami et son instituteur en liberté.