Faire le deuil d'un prolongement de soi. Dans l'intimité de son salon, Muriel, 48 ans, revient sur la perte de sa fille. " Personne n'est jamais prêt à entendre que son enfant va mourir. C'est un tel choc que c'est comme si notre monde s'écroulait "... Lire la suite de l'article sur Elle.fr