Le Vendéen Frédéric Albert a fait cette découverte après la mort de l’ami de sa famille, Paul Pradier. Ce dernier était dans sa jeunesse un redoutable agent du Sipo-SD, sévissant en Dordogne en 1944. Après des mois d'enquête, il publie un livre sur l'obscur passé du Périgourdin, "Le dernier Gestapo".