Comme en 2011, dans le cadre de l’accord dit « Shalit », quelque 230 détenus palestiniens jugés très dangereux, sur les centaines qui doivent être libérés en échange des 33 otages israéliens, seront bannis à l’étranger ou transférés dans la bande de Gaza. Le recours à cette mesure d’éloignement est dénoncé par les Palestiniens, et divise les Israéliens.