À peine les camps libérés, le monde a eu du mal à entendre le témoignage des déportés. Il a fallu du temps pour faire place à l’indicible. Alors que le monde entier commémore lundi 27 janvier les quatre-vingts ans de la libération d’Auschwitz, la lecture de cinq « classiques » s’impose. Auxquels peuvent s’ajouter La Traversée de la nuit de Geneviève Anthonioz-de Gaulle, Être sans destin du Hongrois Imre Kertész, Et la lumière fut, de Jacques Lusseyran…