Voilà dix ans que les animaux sont considérés dans notre code civil comme des « êtres vivants doués de sensibilité », et plus seulement des objets. Ce changement a-t-il entraîné une meilleure prise en compte du bien-être animal dans les tribunaux ? Affaires de chats, loups et souris, de Marseille jusqu’à Grenoble ou Bobigny.