Добавить новость
ru24.net
La Montagne
Сентябрь
2024

Un nouveau chef à la caserne

0

Une Une cérémonie de passation de commandement entre l’adjudant-chef Xavier Gouvart, chef de centre descendant, et le sergent-chef Thomas Puyraimond, chef de centre montant, s’est déroulée récemment.

Le chef sortant, l’adjudant-chef Xavier Gouvart est né le 20 mars 1969 près de Dunkerque, dans le Nord. Le 13 juillet 1990, il a été affecté au centre d’Ally en qualité de sapeur 2 e classe. En 2005, il prend une double affectation, et répond également sur le secteur du centre de Pleaux.

Il était devenu adjoint à Ally en 1998, avant de passer chef de 2001 jusqu’en 2023. Il reste sapeur-pompier volontaire à Ally.

C’est le sergent-chef Thomas Puyraimond qui le remplace. Né le 11 mars 1991, à Mauriac, il s’engage à Ally en 2008, et a la double affectation à Pleaux en 2009, puis à Saint-Martin-Valmeroux en 2014. Il a pris la tête du centre de secours cette année.

Le centre de secours d’Ally compte neuf sapeurs-pompiers volontaires, quatre femmes, cinq hommes, pour six sapeurs et caporaux et trois sous-officiers. La compétence d’intervention des pompiers d’Ally s’étend sur quatre communes, Ally, Brageac, Chaussenac et Escorailles pour une population de 979 habitants.

En 2023, les sapeurs-pompiers d’Ally sont sortis 69 fois, pour 49 secours à personnes, neuf accidents, six incendies... Sur les six premiers mois de 2024, les sapeurs-pompiers du CIS sont déjà sortis 29 fois. Le centre de secours dispose de deux véhicules de secours, un VPI (véhicule de première intervention, très polyvalent) et une voiture, notamment pour compléter les centres voisins. 




Moscow.media
Частные объявления сегодня





Rss.plus




Спорт в России и мире

Новости спорта


Новости тенниса
Юлия Путинцева

Путинцева откровенно высказалась о России






В Москве появятся новые центры деловой активности за пределами ТТК

Улыбайтесь чаще! Карточные платежи сдают позиции QR-кодам и оплатой «по улыбке»

Кабмин запретил майнинг в 10 регионах России до 2031 года

Аналитик объяснил «каморкинг» в Москве