Les locaux de l’association des frontaliers ont été vandalisés pour la troisième fois depuis octobre. Insultes, menaces de mort, matériel informatique détruit,… Dans la nuit du 9 au 10 février, la violence est montée d’un cran. Encore sous le choc, le GTE a décidé de fermer ses locaux jusqu’à nouvel ordre mais il poursuivra ses missions en distanciel.