Takku Wallu Senegaal très critiquée au Fouta: Me Malick Sall et ses partisans tournent le dos à l’APR
Parmi les démissionnaires figurent plusieurs figures locales : El Hadji Amadou Thimbo (économiste, Dabia), Abdoul Guissé (ancien sénateur et adjoint au maire de Thilogne), Hadiaratou Ndiaye (assistante, Ogo), Thierno Mboup (artiste, Dabia), Mame Laguel Konté (membre de la diaspora en France), Abdoulaye Ndiaye (chercheur, Ogo), Maïmouna Ba (ménagère, Matam), Oumar Amadou Abass Ka (Dabia), Harouna Bal (enseignant-chercheur, Ogo), Moussa Sy (opérateur économique, Nabadji), Aminata Saïdou Ba (gestionnaire, Nabadji), Babido Ndiaye (juriste, Oréfondé), Bineta Fall (ménagère, Matam) et Amadou Wagne (artisan, Thilogne). Tous ont annoncé leur départ «avec effet immédiat», selon un communiqué transmis hier au Quotidien.
Les partisans de Me Malick Sall dénoncent la gestion opaque des investitures au sein de la coalition Takku Wallu Senegaal et accusent Macky Sall de favoriser des pratiques manipulatrices. Selon eux, «ces investitures démontrent une nouvelle fois la duplicité et la fourberie dans la gestion de l’APR dans le département de Matam, avec l’approbation du leader du parti».
Ils rappellent également plusieurs épisodes marquants, comme «la trahison lors des élections locales précédentes» ou encore «le gazage des militants APR de Matam lors de la précampagne législative».
Ces démissionnaires considèrent que cette nouvelle gestion des investitures ne fait qu’«entériner l’ostracisme» dont ils disent avoir été victimes au profit de certains oligarques internes.
Les partisans de Me Malick Sall dénoncent la gestion opaque des investitures au sein de la coalition Takku Wallu Senegaal et accusent Macky Sall de favoriser des pratiques manipulatrices. Selon eux, «ces investitures démontrent une nouvelle fois la duplicité et la fourberie dans la gestion de l’APR dans le département de Matam, avec l’approbation du leader du parti».
Ils rappellent également plusieurs épisodes marquants, comme «la trahison lors des élections locales précédentes» ou encore «le gazage des militants APR de Matam lors de la précampagne législative».
Ces démissionnaires considèrent que cette nouvelle gestion des investitures ne fait qu’«entériner l’ostracisme» dont ils disent avoir été victimes au profit de certains oligarques internes.