Depuis la promulgation de la loi Veil, le 17 janvier 1975, une clause de conscience spécifique existe pour l’interruption volontaire de grossesse (IVG), qui rappelle qu’un médecin ou une sage-femme peut refuser de pratiquer un avortement. Objet de nombreuses critiques, cette clause de conscience est-elle un frein à l’accès à l’IVG en France ? Décryptage.