Alors que la rentrée scolaire est prévue le 27 janvier, plusieurs établissements sont toujours occupés par les habitants les plus vulnérables. Lundi, jour de rentrée des professeurs et personnels, environ 500 demandeurs d’asile devaient rejoindre un camp construit dans le but de les accueillir. Mais, au dernier moment, les services de l’État ont abandonné le projet. Pour finalement déplacer les réfugiés dans un autre établissement scolaire.