G. Courtet : « On doit faire le travail jusqu’au bout »
Gaëtan Courtet était en conférence de presse avant le gros rendez-vous qui attend les Maritimes ce vendredi (20h45) pour la dernière rencontre à domicile de la saison !
FINIR LE TRAVAIL
« On doit faire le travail jusqu'au bout, parce qu’à l’heure actuelle, on n'a aucune certitude, même si on s'est donné beaucoup de chances en gagnant à Quevilly. Il reste un petit point à prendre, en obtenir trois serait parfait pour finir une saison à la maison. Je pense qu'on a réussi à faire revenir le public, ce qui n’était pas gagné. On souhaite offrir cela au public. »
DE LA CONFIANCE
« Il ne faut pas se le cacher, la victoire à Quevilly a enlevé beaucoup de pression, donc forcément, cette semaine a été un peu plus « détendue » dans les attitudes, et ça fait du bien, malgré tout, surtout quand on vit une saison pareille. »
ÉVITER LE RELÂCHEMENT
« La mission principale, c'est d'éviter un relâchement, même si nous sommes des êtres humains, inconsciemment, en sachant qu’on est à 97% maintenus, on est plus serein. Je ne l'ai pas vu dans le travail, on a mis ce qu'il fallait, et demain, on aura envie de bien finir. Ce match, on va le jouer, sérieusement quoi qu'il arrive, et je ne vois pas pourquoi on laisserait passer cette opportunité. »
DES ÉMOTIONS PARTICULIÈRES
« Une saison comme celle-ci nous procure des émotions particulières et il faut savoir les encaisser. Quand l'objectif est rempli, ce sont de belles émotions, et je pense que ça n'a pas été toujours facile, mais on s'est toujours donné les moyens d'aller chercher les choses, ça c'est sûr. »
UN TRAVAIL D’ÉQUIPE
« La très bonne demi-saison de l’équipe ne dépend jamais d'un joueur. Évidemment qu'on est venu me chercher pour que j'apporte un plus, pour que j'apporte quelque chose, de l'expérience, de la grinta, ce qui me caractérise. Il y a eu un travail qui a été fait avant, ça ne prenait pas comme on le voulait, et il y a eu des choses qui ont été ajoutées, c'est un tout qui a pris. »
SA SITUATION CONTRACTUELLE
« C'est simple, quand je suis arrivé ici, je l'ai dit, s'il y avait un maintien, je rempilais un an, et s'il n'y avait pas maintien, j'étais libre. Donc à 97% je suis encore dunkerquois l'année prochaine. Je me plais ici. »
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