Pour Alexandre Robinet Borgomano, responsable du programme Allemagne de l’Institut Montaigne, et Édouard Michon, senior strategist chez Allianz et contributeur au récent rapport de l’Institut Montaigne « Quelle Allemagne après Merkel ? », la stratégie du « centrisme diplomatique » et du mercantilisme déployée par la chancelière sortante touche à ses limites.