Alors que Salah Abdeslam multiplie les provocations depuis l’ouverture du procès des attentats du 13 novembre, Jean-Paul Marthoz rappelle la nécessaire prudence dans la couverture du procès. « On peut informer sans se faire le relais d’un discours de propagande », explique ce journaliste qui dirige le module « Médias et terrorisme » à l’université catholique de Louvain, en Belgique (1).