Les avocats du général Jean-Marie Michel Mokoko, 74 ans, candidat malheureux à la présidentielle de 2016, dont il n’a jamais reconnu les résultats, condamné à 20 ans de travaux forcés pour « atteinte à la sécurité intérieure de l’État », se disent opposés à la décision des autorités de réintégrer leur client à la prison de Brazzaville. Depuis son retour d’une évacuation en août 2020 en Turquie, il est interné depuis à l’hôpital militaire.