Le parti MSD, dont les deux principaux leaders ont été accusés d'être à la tête d'un groupe de terroristes responsables de nombreuses attaques et autres grenades, a réagi en niant toute participation à des crimes « contraires à sa philosophie politique ». Le pouvoir burundais veut les présenter comme les leaders du groupe rebelle RED-Tabara, le plus actif sur le sol burundais.