Alors qu’un processus diplomatique visant à mettre fin aux bombardements de zones peuplées dans les pays en guerre reste bloqué, des ONG appellent les États à protéger les civils, notamment la France, l’un des plus grands vendeurs d’armement au monde. Car 90% des victimes de bombardements sont des civils et les munitions non explosées constituent un danger, des années après la fin des guerres.