Waziers : accusé d’avoir violé sa belle-fille, il minimise les faits malgré certaines évidences
De ses trois ans de détention, Sylvain L. a gagné en aisance. Le fruit d’un travail psychologique. « Avant, je n’aurais pas été capable de parler », dit-il, buste droit et cheveux mi-longs noirs tirés vers l’arrière. Le beau-père de Laurie (1) n’en est pas moins arc-bouté sur sa version : dans la salle de bains, « Je lui ai demandé de se mettre à quatre p...