L’éditeur de Pegasus avait admis que certains clients ne « protègent pas les droits de l’Homme »
Depuis toujours, NSO Group se dédouane des utilisations abusives de son logiciel d'espionnage Pegasus. L'entreprise prétend qu'elle fait de son mieux en contrôlant en amont à qui elle donne son outil, mais qu'elle ne peut pas surveiller l'utilisation « hautement sensible » qui en est faite. [Lire la suite]
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